Une simulation probablement historique (RP privée avec Bretaska )

Clémentine Jakson était très heureuse de la résidence d’été de cherub, elle ne regrettait vraiment pas d’avoir rejoint cette organisation. En effet avant qu’elle rejoigne l’organisation cherub les seules « vacances » que Clémentine pouvait espérer était un bref séjour dans un centre de vacances où elle ne connaissait personne et se faisait vite exclure. Les vacances à CHERUB étaient radicalement différentes, Clémentine passait sa journée à la plage avec ses amis à faire du jet-ski ou du quad, elle partageait sa chambre avec les personnes qu’elle appréciait le plus à CHERUB : Sally Phoebe et Ace. Sauf qu’aujourd'hui était un jour bien different. On lui avait ordonné de participer à un exercice de simulation de mission malgré le fait qu’elle porte encore le t-shirt bleu ciel. Sous prétexte qu’elle avait les capacités nessaicaire à l’exercice, elle avait donc trouvé dans sa chambre un short et un t-shirt de camouflage ainsi qu’une casquette et un sac relativement lourd. Elle avait inspecté le sac qui contenait une gourde une carte des rations de survie un talkie walkie et d’autre chose utile. La jeune fille avait donc enfilé et pris le tout puis s’était presenter au point de départ.

Elle avait bien sur ignoré le regard surpris de son partenaire Bretaska Cygnus (qui avec un prénom aussi ridicule que le sien et probablement fruit d’une erreur administrative ne pouvait pas se permettre de faire une critique). Leur mission consistait à parcourir une dizaine de kilomètres à pied puis à libérer deux otages et à revenir, le tout en quatre heures. Un camion piloté par un instructeur les déposa au vrai départ de la mission, l’instructeur leur conseilla de courir , conseille que les deux enfants appliquèrent. Les cinq premiers kilomètres commençerent relativement biens, , Grâce à la préparation physique nécessaire à son programme d’entrainement Clémentine maintenait un bon rythme malgré le fait que le terrain soit en montée. Une descente extrêmement raide commença, Clémentine ne vit pas une racine qui sortait du sol, elle trébucha et fit une glissade sur le ventre pendant vingt cinq mètres.

Une fois arrivée au bout de cette monstrueuse décente Clémentine était au supplice, elle était couverte de poussière en sueur a cause des trente-cinq degrés ambiants et ses genoux et ses bras saignaient. Elle pensa à passer un appel a la base pour qu’on vienne la chercher, mais son futur programme d’entrainement lui vint à l’esprit, si elle ne tenait pas quelque heure le temps d’un exercice elle ne tiendrait jamais cent jours durant. D’autant plus que si elle réussissait l’exercice elle se ferait bien voir des instructeurs et serait la toute première bleu ciel à y arriver. Elle se releva malgré le sang qui coulait à flots, elle compta deux plaies aux genoux, la douleur était cuisante, la sueur coulait sur son front. Ses coups de soleil recent la brulaient mais malgré cela une détermination sauvage brillait dans les yeux de la rouquine, elle plongea ses yeux bleus et rouge dans les yeux verts de Bretaska.
-Je me suis vraiment pas raté, c’est toi qui à la trousse médicale ?


Clémentine releva son t-shirt pour s’essuyer un peut le visage, puis elle sortit une gourde de son sac et but de tout son saoul. Elle ne pouvait pas voir la carte sans mettre du sang dessus mais estimait qu’il leur restait environ quatre kilomètres avant de trouver la villa.Toutefois il fallait très vite lui mettre des pansements pour éviter qu'elle ne perde trop de sang, elle n’attentait que Bretaska. Elle sortit un élastique et attacha ses cheveux roux de façon à ce qu’ils ne la gênent plus.

Dommage... Ces vacances avaient pourtant bien commencé. Mais voilà, à peine était-il rentré de mission (une semaine et demi plus tôt), à peine on convoquait Bretaska pour une simple mission de simulation comme tant d'autres. Dommage... Ca avait bien commencé. Le soleil, la tranquillité avant tout, l'absence délicieuse de tout adulte sur un rayon de 500 mètres, la plage, la sieste, les rires... Bref, tout ce dont un agent pouvait rêver de ses vacances à l'île C... Alors que Bretaska était paisiblement en train de se prélasser sur une chaise en plastique au bord d'un banc de pique-nique, un adulte vint lui annoncer la mauvaise nouvelle. Celle qui allait gâcher sa journée pourtant si merveilleusement bien commencée. Il le sentait. Il avait déjà participé à ces missions de simulations. Bretaska avait horreur de cette maison abandonnée à l'air sinistre que les instructeurs en manque de hargne semblaient, eux, apprécier. Et étonnamment, il s'y déroulait beaucoup de prises d'otage, dans cette maison! Oh, que de pauvres agents troublés dans leur sommeil profond alors que la douce quiétude estivale s'amusait à les griller gentiment... Qu'ils laissent les jeunes faire fondre tranquillement tous leurs muscles accumulés dans l'année ! Non, l'envie de faire souffrir ces pauvres petites bêtes inoffensives était trop forte pour que leur soif irraciable de hurler ne s'attise pas. Il devait sûrement y en avoir qui étaient en train de rêver de ça, de ce bonheur de chanter à l'oreille de l'agent concerné à coup de centaine de décibels: "T'es nul, tu recommences!". Bretaska s'imaginait déjà avec le cou à l'exact emplacement de la pression exercée par les mains de Tudor ou Smith. Cependant, il savait pertinement qu'il pouvait dire au revoir à l'île C pour le reste des vacances ainsi que les suivantes s'il omettait la moindre objection. Il ne répondit donc rien au Tee-Shirt blanc qui lui avait annoncé la nouvelle. Il lui annonça également qu'il ferait cette mission avec une Tee-Shirt bleu ciel qui promettait des bonnes choses dans sa carrière d'agent. Bretaska pensa immédiatement à Phoebe Alevratos et Sally Aaron. Il connaissait Sally Aaron de nom et savait qu'elle était plutôt douée. Il avait déjà rencontré Phoebe Alevratos et faire une mission de simulation avec elle aurait pu compenser. Il se contenta après cela de courir dans sa chambre pour savourer l'équipement qu'il utiliserait lors de cette mission. Il ne prit pas le soin de se changer, il savait très bien qu'un short et un Tee-Shirt vert conviendraient pour cet exercice. Il ouvrit le sac qu'il s'attendait à trouver sur son lit et y trouva une trousse médicale, un talkie-walkie, une bouteille d'eau, une lampe torche et un ouvre-boite. Ces deux derniers objets étant absolument inutiles, il les garda quand même dans l'idée qu'ils en auraient peut-être besoin.

Il se présenta au point de rencontre 6 minutes plus tard, où l'attendait la jolie et aguicheuse bleu-ciel du nom de Clémentine Jakson. Le jeune homme avait toujours détesté ce prénom. Clémentine, quelle idée de porter un nom de fruit! Bretaska afficha un regard surpris quand il se rendit compte qu'il s'était fait des idées trop tôt sur la jeune Tee-Shirt bleu-ciel. Elle avait une réputation de démone et stratège maléfique au campus, mais jamais personne ne parlait de son niveau prometteur. Comme par hasard, cette mission était une libération d'otages, en une vingtaine de kilomètres, en 4 heures. Bretaska avait déjà aisément réussi cet exercice 2 fois et connaissait le chemin sur le bout des doigts. Sûrement était-ce pour cela qu'il n'avait pas de carte dans son sac à dos. Le camion conduit par l'instructeur les déposa au point de départ et Clémentine et Bretaska se mirent à courir immédiatement. Bretaska devant, il mintint un rythme régulier et fut surpris que la jeune Tee-Shirt bleu-ciel suive sans broncher. Bien que le soleil frappe de toute ses forces, quelques fois terassé par une masse grise qui leur offrait quelques secondes de répis, les agents continuèrent leur route à un bon rythme. Pas un mot entre eux deux, pas même un signe. La colline offrit quelques perles de sueur sur le coin du front de Bretaska mais il n'avisa pas une seconde de les essuyer. La descente fut bien plus rude. Trompée par l'allure sûre de Bretaska, Clémentine chuta du haut d'une racine dépassant du chemin. Pendant quelques dizaines de mètres elle fit une formidable glissade sur le ventre qui glissa un court rire nerveux à Bretaska. Quand il vint la soigner de ses hypothétiques blessures, il se rendit compte qu'elle hésitait. Elle devait penser à appeller la base. Mais elle se contenta de se lever et de planter ses yeux dans ceux de Bretaska.

-Je me suis vraiment pas raté, c’est toi qui à la trousse médicale ?

Bretaska sortit immédiatemment de son sac la trousse médicale.

-En effet...

Il examina les plaie, essuya la sueur accumulée autour des genoux puis remarqua qu'elle tremblait légèrement. Bretaska vit Clémentine porter le goulot de sa gourde à sa bouche et boire, boire, boire sous le soleil cuisant. *Mais qu'est-ce qu'elle fout, celle-là ? Elle a pas compris que l'eau c'est pour les otages?* Bretaska se contenta de hocher la tête au lieu de faire parler ses pensées. Elle était blessée et l'astre solaire était à présent capable de faire suer le plus déshydraté des cactus. Elle jeta un coup d'oeil sur la carte qu'elle tachait de sang. Peut-être que ça doit la rassurer. Bretaska n'essaya pas de lui expliquer qu'il connaissait le chemin par coeur. Au lieu de ça, il reprit:

-Tu ne t'es pas loupée, dis-donc!

En effet, l'entaille faite par les branches barrait chaque genou d'un trait rouge profond de quelques millimètres. Il désinfecta, enleva le sang, mit une gaze puis pansa doucement pour ne pas presser sur la plaie qui ne saignait pas trop. Quand il releva la tête, Clémentine avait ses cheveux roux attachés.

-Tu peux te lever? Tu veux continuer?

-Bien sur qu’on continue, il nous reste cinq kilomètres on y va

Ces mots avaient jailli de la bouche de Clémentine Jakson, démone stratège maléfique du campus et fière de l’être. Clémentine était perfectionniste, déterminée et brillante, trois qualités qui allié à son QI faisaient d’elle un véritable genie comme beaucoup de resident. Elle détestait plus que tout l’échec, elle n’aurait pas supporté le fait d’abandonner, d’autant plus que maintenant Bretaska l’avait soigné elle pouvait continuer. Son corps était certes proche des limites mais son mental n’était en aucun cas entamé. Et selon Clémentine tant que le mental est opérationnel on peut continuer à avancer, la marche ou plutôt la course reprise, Clémentine ignorait la douleur, repensant à ce qu’elle avait vécu durant trois semaines de fugue. Elle courait toujours derrière Bretaska, toutefois en faisant attention de ne pas retomber. Quand ils courent la plupart des gens font le vide dans leur esprit, la jeune rousse elle faisait fonctionner son cerveau à plein régime, elle repoussait tout simplement ses limites physiques grace au mental. Actuellement Clémentine se demandait comment elle pourrait libérer les otages le plus rapidement possible puis, elle se mit, comme souvent à repenser à ce qui l’avait mené à CHERUB. Son piratage sous l’ordre de ses parents suivit de leur mort puis de trois semaines de fugue. Tous ses evements aussi illégaux que tristes l’avaient conduit là. Au neuvième kilomètre Clémentine avait l’impression que ses jambes prenaient feux, elle ressentait des douleurs à ses plaies sans parler des ampoules qui se formaient sous ses pieds. Un autre bleu ciel aurait sans doute clairement montré son épuisement, pas Clémentine, la même détermination brillait toujours dans ses yeux, elle ne s’était pas plaint et ne montrait aucune émotion. Clémentine apperçu la villa, elle se sentit aussitôt fouettée par l’adrénaline, sensation qu’elle adorait par-dessus tout. L’espionnage et le cambriolage sous à bien des égards parfaitement similaire. Clémentine sentit les réflexes acquis lors de son ancienne vie revenir, ils devaient inspecter le terrain puis une fois tout risque éventuelle écarté commencer l’acte. La maison était entourée de grillages, du coté où ils étaient ils ne voyaient ni voiture ni porte juste de fenêtre. Ils s’approchèrent discrètement, puis firent le tour du grillage ce qui était une inspection, Clémentine fut rassuré on ne voyant rien qui ne pouvait faire penser à un chien. Le portail était surmonté de pointe et assez haut et le grillage lui était surmonté de barbelé. Il valait mieux découper le grillage et s’introduire dans la maison. Ce qui poserait problème serait la présence éventuelle des kidnappeurs à l’intérieurde la villa. L’état des otages est bien sûr leur transport sur une dizaine de kilomètres, Clémentine déclara à voix basse

-Tu a des des pinces coupantes ? On pourrait découper le grillage et s’introduire dans la maison

Clémentine essuya la sueur qui maculait son front, elle réfléchissait froidement malgré l'adrénaline qui circulait dans ses veines à l’idée de ce qu’ils allaient faire. Pour la première fois elle allait s’introduire dans une maison pour faire une chose légale. Sauf que ce n’était pas une mission à proprement parler, en réalité leur vie aurait été mise en jeu. Ici Clémentine était consciente de ne risquer rien de plus qu’une blessure ou une sale note. Mais les conditions étaient tout de même bien respecter. La première fois que Clémentine s’était introduite dans une maison elle avait à peine quatre pourtant elle en gardait un souvenir bien précis. introduit dans un jardin puis l’avait fait passer par une minuscule fenêtre donnant sur le sous-sol de la maison. Clémentine était alors monté puis avait déverrouillé la porte permettant à son père d’effectuer un cambriolage sans aucune effraction. À l’époque, étant précoce elle savait déjà que son père faisait quelque chose de mal. Mais elle avait aussi compris qu’il avait besoin d’argent pour la faire vivre étant donné qu’il ne trouvait pas de travail. Tout en se plongeant dans ses souvenirs Clémentine restait parfaitement concentrée, elle était attentive au moindre changement, au moindre bruit, elle attendait surtout la réponse de son partenaire. Clémentine doutait qu’il ne l’apprécie, il ne s'était peut-être attendu à quelqu’un d’autre qu’elle. Pour l’heure ses sentiments n’intéressaient pas Clémentine, ce qu’elle voulait c’était réussir la mission.

-Bien sur qu’on continue, il nous reste cinq kilomètres on y va

Bretaska ne fut pas surpris de la réaction de sa coéquipière, il lisait la détermination dans ses yeux profonds. Elle n'avait vraiment pas l'air d'avoir envie de déclarer forfait pour cette fois. De plus, sa blessure était superficielle selon son examen et elle pouvait très bien (si elle le voulait vraiment) continuer à courir. Les deux agents se remirent en route, Bretaska toujours devant, engageant cette fois la course d'un pas plus lent pour ne pas trop faire souffrir Clémentine.

Cependant il sentit au bout d'un moment que la course la gênait vraiment, des ampoules devaient se former sur ses pieds comme sur ceux de Bretaska. Douleur superficielle. Celui-ci n'y prêtait guère attention. Mais étant Tee-Shirt bleu-ciel, il aurait certainement demandé une pause avant l'assaut de la maison. Il était donc étonné du comportement étrangement résistant de Clémentine. Il se rappelait de sa première fois à l'île de C, il avait été cette année convoqué pour une mission de simulation de routine qui consistait étrangement à la même chose que ce que les deux agents faisaient en ce moment. Les ordres qu'ils avaient reçu étaient au mot pour mot équivalents à ceux qu'il avait reçu 2 et 3 ans plus tôt. En dehors de ces missions, il lui était arrivé de s'infiltrer dans le périmètre sans l'autorisation après une soirée plutôt bien arrosée avec des amis. Des amis qui, comme Bretaska, avaient déjà essuyé quelques missions de simulation dans cette maison abandonnée. Ils connaissaient donc bien les alentours, grillages, marais et autres pièges normalement indécelables la première fois. Il restait des images de cette soirée à Bretaska. Un des agents (il ne se souvenait absolument pas duquel) avait décidé de rendre la tâche plus facile aux agents qui, à leur tour, devront "libérer les otages". Il avait donc décidé de découper scrupuleusement le grillage avec une pince qu'il avait "emprunté" au campus sans que cela ne soit répertorié par aucun membre du personnel du campus. Sur la carte de Clémentine n'était donc normalement pas indiquée cette petite tricherie délicieuse dont Bretaska connaissait le secret. Ils aperçurent enfin la petite villa abandonnée à la nature. L'agent blond souriait au grillage en se disant s'il allait dire ou non à Clémentine qu'il manquait un bout à cette faible protection. Comme prévu il était surmonté de barbelés. Il engagea Clémentine à faire une inspection, elle prit la première position du duo, elle semblait fébrile et heureuse à l'idée de prendre discrètement d'assaut la maison afin de libérer les otages de (d'éventuels) kidnappeurs. Bretaska s'attendit à entendre le traditionnel aboiement... Mais après un tour complet... Pas de chien? L'agent blond paru déçu. Ils devaient avoir emmené Letboul dans une famille ou tout simplement le piquer sans penser à mettre un autre chien derrière le grillage. Dommage. Bretaska aimait bien caresser ce gros labrador au faciès hargneux mais à la personnalité aussi douce que le coton ! Clémentine inspecta le grillage avant de prononcer la phrase que Bretaska attendait:

-Tu a des des pinces coupantes ? On pourrait découper le grillage et s’introduire dans la maison

-Je suis assez d'accord avec toi sur le fait de s'introduire dans la maison !

Elle n'avait pas semblé entendre la réponse ironique de Bretaska. Elle était pensive. Ce qui tira un sourire à l'agent de 15 ans. Pensive pendant une mission... Penser à son avenir, son passé, alors que deux petits enfants sont peut-être en train de se faire déboîter la mâchoire par un père mal intentionné ou sont peut-être obligés à manger de la truite à la sauce au foie de veau par une grande-tante assassine. Alors qu'elle avait les yeux dans le vague, Bretaska devint soupir afin de ne pas la déranger dans sa concentration rêveuse. Il retrouva facilement le petit trou dans le grillage, indécelable pour celui qui ne connaissait pas son emplacement, il se situait bien là où Bretaska le pensait. Il s'introduit dans le périmètre de la propriété et se plaça juste devant Clémentine. Elle qui l'avait un instant impressionné, elle lui paraissait à présent toute fragile et impuissante. Mais toujours déterminée.

-Ah, je comprends... Ca devait être pour ça l'ouvre-boîte. Boaf, j'aime pas les sardines de toute façon.

Clémentine jeta un coup d'œil étrangement calme à Bretaska et parut prise de sursaut ce qui tira un petit rire nerveux à Bretaska.

-Quoi? On t'a pas appris encore à voler par dessus les barbelés au campus? Il attendit la réponse, et, toujours souriant, continua: Viens, suis-moi !

Il se planta devant le trou dans le grillage et aida Clémentine (pourtant plus petite que lui mais sûrement toujours un peu apeurée par l'apparition derrière le grillage de Bretaska) à se dépêtrer avec les fils. Les deux agents se dirigèrent vers le fenêtre de derrière.

Je suis assez d'accord avec toi sur le fait de s'introduire dans la maison !

Clémentine fronça les sourcils, ce n’était pas LE moment idéal pour blaguer alors que des kidnappeurs pouvaient surgir et faire capoté la mission.
-Ah, je comprends... Ça devait être pour ça l'ouvre-boîte. Boaf, j'aime pas les sardines de toute façon.

Clémentine tourna la tête et vit que Bretaska était de l'autre coté du grillage, il devait y avait avoir un trou dans le grillage et Bretaska qui était au campus depuis plusieurs année avait été prévenue, c'etait logique quoi qu'un peux surprenant. Cela dit elle n'en montra pratiquement rien hormis une lueur dans son regard bleu et rouge et sur éleva un sourcil l'air blasé.
-Quoi? On t'a pas appris encore à voler par-dessus les barbelés au campus? Il attendit la réponse, et, toujours souriant, continua: Viens, suis-moi !
Clémentine retint alors un soupire, d’accord il avait fait une chose auquel la jeune fille n’aurait jamais pensé mais bon tout de même, Clémentine s’introduisit dans le trou du grillage, Bretaska l’aida à se dépêtré.

Clémentine lui rendit son sourire, en le ponctuant d’une légère pointe d’ironisme.
-Pas vraiment non, si t’en a d'autres des tuyaux comme ça te gêne pas surtout

Ils étaient maintenant arrivés à la fenêtre de derrière, Bretaska porta Clémentine sur ses épaules la jeune fille força la serrure de la fenêtre puis s’introduisit dans la maison, plus exactement dans le couloir. Bretaska la suivit. Pour trouver les enfants Clémentine et Bretaska durent fouiller deux chambres. La troisième fut la bonne, les deux otages étaient allongés sur des lits attachés et bayonné. Clémentine ôta son bâillon à la première petite fille et trancha ses à l’aide de son couteau suisse liens puis les plaça dans son sac au cas ous pendant que son équipier faisait pareil avec l’autre petite fille. Clémentine l’aida à se relever, puis déclara
-C’est nous les libérateurs suit nous ont te ramméne a la maison
La petite fille sourit et déclara
-Super je m’ennuyais ici

La petite troupe partit vers la fenêtre, les deux otages n’étant pas en capacité d’accomplir une dizaine de kilomètres à pied il faudrait trouver une voiture, pour les ramener. Bretaska était en tete les deux enfants suivaient et Clémentine fermait la marcher. Soudain un jeune homme sans doute l’un des preneurs d’otages surgit, il donna à Clémentine un violent coup de poing dans le nez puis plaqua la rouquine contre le mur. Clémentine était consciente de n’avoir aucune chance en combat régulier, le garçon était baraqué et devait avoir quinze ou seize ans et Clémentine était petite et n’avait pas encore passé le programme qui lui permettrait d’apprendre à neutraliser un homme adulte. Il porta la main à ça ceinture ou se trouvait un pistolet, prèt à neutraliser Clémentine. La jeune fille faisait comme tous les agents du théâtre, elle décida de forcer ses talents d’actrices. Elle relâcha tous ses muscles et ferma, sa tete reposait mollement sur le côté.

-Oh m*rde elle s’est évanoui

Clémentine sentit la pression qui pesait sur son ventre se relâcher, aussitôt, elle releva les genoux infligeant à son agresseur un violent et puissant coup dans les parties sensibles. Comme prévu le pseudo preneur d’otages hurla de douleur et tomba à genoux, aussitôt Clémentine saisit le pistolet qu’il avait à la ceinture et lui tira deux fois dans la poitrine à bout portant. Elle savait combien ce genre de chose pouvait faire mal avec un pistolet de paintball mais selon elle le coup de poing parfaitement injustifié que lui avait mis le garçon justifiait cela. Son nez saignait, il n'était pas cassé mais une simple pichenette aurait suffi à le faire. Le jeune homme était obligé de jouer le jeu sans quoi il aurait D d'office, il ne bougeait donc plus, elle se tourna vers son Co-équipier et les enfants, ils étaient absolument éberlués d'avoir vu une jeune bleu ciel neutraliser un agent de seize ans. Clémentine lança à Bretaska un regard qui voulait dire "alors tu t'y attendais à ça ? ".

-Pour mon nez on verra plus tard l'important c'est de se tirer d'ici en vitesse

Clémentine ignora encore une fois la douleur bien décidée à aller jusqu'au bout de cette mission, elle appuyait sur son nez avec son pouce. Ils réussirent tant bien que mal à faire passer les enfants par la fenêtre. Clémentine vit une dernière le jeune homme taillé comme une armoire à glace et réalisa qu'elle avait réussi un véritable exploit. Une fois hors de la maison Clémentine se sentit soulagé, il ne leur restait plus qu'à trouver une voiture et à partir. Elle glissa alors à l'orreil de Bretaska, un sourire sur le visage

-Tu t'y attendais à ça ?

Si la mission était un échec Clémentine ressentirait certes un grand sentiment d’énervement et d’impuissance mais elle ne pourrait pas oublier ce qu’elle ressentait à l’idée que les enseignements de CHERUB avaient vraiment porté leur fruit. Elle n’oubliait pas le jeune homme qu’elle avait neutralisé, quelque part cela lui inspirerait toujours une certaine fierté. Cela montrait en quelque sorte que Clémentine était pré destiné à être une bonne agente de CHERUB.

Bretaska ne fut pas surpris par la note d'ironie dans la voix de Clémentine. Les deux agents se dirigèrent vers la fenêtre de derrière. La jeune fille méritait peut-être un peu plus d'attention au niveau de sa démarche. En effet, elle était plutôt douce et calme quand il le fallait, comme un souffle furtif qui ne se permet même pas de faire crisser les feuilles sous ses pieds. Simple et efficace. Cependant, il fut prit par la nette envie d'en faire le plus baver Clémentine pour tester ses aptitudes et éviter de s'ennuyer pendant cette mission déjà parfaitement accomplie deux fois. Enfin... En faire baver... Pas non plus lui enfoncer sans faire exprès un clou au niveau de sa blessure mais c'était tentant... Bretaska se sortit de ses idées noires et immergea une bonne fois pour toutes dans la réalité. Il "omit malencontreusement" de signaler à Clémentine qu'il existait une échelle toute simple cachée sous les branchages à ses pieds et il la porta sur ses épaules. Le jeune garçon trembla de sorte à ce que Clémentine soit un peu gênée par ces secousses mais cela n'avait pas l'air de la troubler, loin de là. Bretaska ripa son bras et, sans réellement faire exprès, percuta le genou de la jeune fille à l'exact endroit de sa blessure. Il prit peur, croyant que Clémentine allait se mettre à crier mais se rendit compte qu'elle n'avait pas bronché. Étonnante, celle-là ! Aux yeux de Bretaska, la jeune fille devenait plus une Tee-Shirt gris expérimentée qu'une petite faible et aguicheuse Tee-Shirt bleu-ciel. Il comprenait totalement pourquoi ils l'avaient choisi elle pour faire cette mission.

Les deux agents, à présent entrés par effraction dans la maison abandonnée, se mirent à fouiller doucement dans toutes les pièces à proximité. Les deux premières fois qu'il avait effectué cette mission, Bretaska avait trouvé les 2 enfants dans la salle de bain puis dans la chambre d'amis. Clémentine était devant. Elle devait se permettre de décider où aller. Après tout, cela n'ennuyait pas du tout Bretaska que cela se passe comme ça puisqu'il était déjà expérimenté sur le terrain... Les enfants se trouvaient dans la chambre d'amis. Ligotés des mains et pieds sur les lits, bâillonnés, la totale, quoi... La petite fille dont s'occupait Bretaska devait avoir dans les 7-8 ans et ressemblait étrangement à Aliena Kercyan dont il avait fait connaissance quelques mois plus tôt au parc, dans des circonstances plutôt désastreuses... Il lui coupa les liens, la débâillonna, elle marmonna quelques mots incompréhensibles puis le jeune agent l'emmena dans le couloir où Clémentine et sa petite protégée les attendaient. Il prit la tête du quatuor, Clémentine en dernière position. Ils descendirent quelques marches puis Bretaska entendit un léger cri et des bruits de lutte juste derrière lui. Il se retourna légèrement trop tard, Dave Mosstwo venait d’abattre un joli morceau de sa puissance sur Clémentine Jakson. Bretaska mit ses mains au dessus des yeux des "otages". Le grand et baraqué Tee-Shirt noir bien connu plaqua la pauvre petite Tee-Shirt bleu-ciel contre le mur. Bretaska croisa les bras en se demandant comment Clémentine allait s'en sortir toute seule. Il eut un petit sourire en se rendant compte que pour le coup Dave allait perdre la partie. Tout était écrit dans les yeux de Clémentine. Il la laissa s'en dépêtrer toute seule en la voyant fermer les yeux. Dave Mosstwo se tourna vers moi puis lâcha:

--Oh merde elle s’est évanouie

-Hum, je serais toi, je vérifi...

A ce moment Clémentine porta un énorme coup de genou dans les parties sensibles du grand agent connu pour être le professionnel des combats singuliers. Bretaska sortit de la maison calmement afin de cacher la vue du combat aux enfants. Il entendit le bruit de deux tirs de paintball. Elle avait dû neutraliser l'agent à bout portant. Outch ! Bretaska n'osait pas imaginer la douleur que devait supporter le pauvre Tee-Shirt noir envoyé par les contrôleurs de mission, ni ce qu'il allait essuyer au campus. Clémentine était une jeune fille effectivement prometteuse. Capable de neutraliser un agent hyper-expérimenté grâce à un faux évanouissement, jolie idée... En tout cas, ça marche ! En sortant de la maison, Clémentine jeta un regard aux enfants. Ils paraissaient éberlués par ce qui venait de se passer. Puis elle lança un regard à Bretaska dont il n'arriva pas à déchiffrer le message.

--Pour mon nez on verra plus tard l'important c'est de se tirer d'ici en vitesse Puis au bout de quelques instants et de quelques regards jetés à l'intérieur de la maison, Clémentine lança à Bretaska avec un petit sourire: -Tu t'y attendais, à ça?

Effectivement non, Bretaska devait l'avouer. Cependant, l'état du nez de Clémentine le préoccupait un peu. Il avait l'air sérieusement endommagé, pas encore cassé mais il avait sûrement besoin de soins.

-Là, Clémy, je dois avouer que non. Mais il a quand même bien réussi à t'amocher avant ton joli cinéma. Tu ne veux pas que je jette un œil à te blessure?

Clémentine le laissa examiner sa blessure pendant quelques secondes puis le jeune blond décréta qu'il n'y avait rien de si grave. Cependant, il remarqua que la jeune rousse arrivait plutôt bien à supporter la douleur. Un nez broyé, c'est plutôt hard.

Ca va, rien de grave. Pour le sang, ça ira. Évite juste de trop te montrer face aux enfants.

Bretaska sourit. Il prit les enfants par la main et le quatuor se déplaça à allure rapide jusqu'au garage. Il s'ouvrit sans difficultés et les agents eurent l'immense plaisir de se rendre compte que dans le garage se tenait une jolie voiture invisible. Alors que les deux premières fois que Bretaska avait rempli sa mission la voiture s'y trouvait, ils avaient dû la déplacer à l'extérieur du terrain. Ou alors ils devaient rentrer à pied... Impossible, pas avec 2 gosses dans les pattes.

-Bon, okay... On va voir à l'extérieur, on passe par le trou derrière.

Ils passèrent le grillage sans grande difficulté et commencèrent à inspecter les environs. Un regard furtif permit à Bretaska de voir un tout petit morceau de la carrosserie miroitant les rayons du soleil cuisant. Il invita les trois autres à le rejoindre. Avant que Bretaska atteigne la poignée de la portière, il entendit un bruit dans les buissons. Comme quelqu'un qui les suivait.

-Chut!

...

-Nous ne sommes pas seuls.

-J'ai envie de faire pipi.

(H RP: Le bruit, c'est un agent de police qui nous suit à cause du bruit du fusil de paintball. Cet agent, tu le connais, c'est un de ceux qui étaient à tes trousses pendant un de tes cambriolages, okay?)

-Là, Clémy, je dois avouer que non. Mais il a quand même bien réussi à t'amocher avant ton joli cinéma. Tu ne veux pas que je jette un œil à te blessure?

Clémentine jubilait intérieurement d'avoir réussi à impressionner qui était tout de même un agent opérationnel expérimenté de quatorze ans, cela confirmait ses espérances. La jeune fille nota le Clémy ce qui voulait dire que Bretaska l'aimait bien. Elle décida aussi de laisser Bretaska examiner sa blessure, la douleur était à la limite de l’insupportable, sans la présence de Bretaska et des enfants à ses côté elle aurait sans doute tenus moins longtemps. Mais son ego alié à sa détermination l’empêchait de se désister, elle était forte, plus forte que la douleur.

Bretaska examina la blessure avec attention puis décréta ceci :
Ça va, rien de grave. Pour le sang, ça ira. Évite juste de trop te montrer face aux enfants.

Clémentine était tout de même soulager l’idée de devoir subir une douloureuse opération afin qu’on lui redresse ou avoir une tete de boxeuse à la retraite lui inspirait un effroi sans bornes, son partenaire prit ensuite les deux enfants par la main pour leur éviter d’avoir à faire face au visage sanglant de Clémentine. L'insolite troupe composée de trois aspirants agents secrets et d’un agent opérationnel qu’étaient Clémentine Bretaska et les deux petites avança à un rythme rapide. Ils finirent par trouver le garage, Clémentine n'en restait pas moins sur ses gardes, elle savait que beaucoup de cambrioleur échouait et se faisait prendre car ils s’étaient détendu avant d’être tiré d'affaire.Certes leur acte n’était pas du tout un cambriolage mais bon il fallait quand même s'introduire chez des gens.

Le garage s'ouvrit assez facilement, en général dans ses cas là ont peut penser que c'est l'acte que les agents et les otages vont rentrer obtenir une bonne note et que Clémentine va pouvoir se faire soigner. Mais non ! Oh grand dam de Clémentine il n'y avait pas de voiture, elle retint un juron ! À croire que tout s'acharnait contre d'abord sa chute son agression et ensuite ça. Cela commençait sérieusement a l’agacer d'autant plus que la douleur était cuisante. Mais Clémentine pensa à la lueur de "je le savais ce n'est qu'une faible bleu ciel " qui brillerait dans le regard de Bretaska si elle abandonnait. Elle inspira donc profondément et pensa qu'elle connaitrais bien pire durant le programme d'entrainement initial

-Bon, okay... On va voir à l'extérieur, on passe par le trou derrière.

Ils réussirent à faire passer les enfants par le trou sans trop de difficulté, c’était tout de même des t-shirts rouges, des recrues qui vivaient au bâtiment junior. Clémentine estimait que Bretaska et elle avait quand même la chance de ne pas tomber sur des gamins qui voudraient leur compliquer la tâche. Les petites auraient pu jouer les traumatisé exiger de l'eau ou de la nourriture mais non.

Clémentine aperçut une belle et magnifique voiture. Elle eut l'impression de ne jamais avoir vu une aussi belle chose. Bretaska voulut atteindre la poignée quand soudain Clémentine entendit un bruit dans les buissons. S'il s'agissait de l'un des preneurs d'otages elle se servirait de son pistolet de paintball, ou alors Bretaska devrait assurer en combat. Son nez était fragilisé le moindre coup pourrait le casser et elle savait qu'elle n'aurait aucune chance si le suiveur était aussi baraqué que le preneur d'otage. Et un agent de CHERUB ne se fait pas avoir deux fois par une ruse qui lui est propre
-Nous ne sommes pas seuls.
Clémentine s’apprêtait à ajouter "ouais " et faire monter tout le monde dans la voiture en quatrième vitesse, quand une gamine déclara
-J'ai envie de faire pipi.

Clémentine retint un juron, il fallait vraiment qu'elle se déclare maintenant ! Clémentine décida que la rouge ferait sa dans la nature,ça ne la tuerait pas. Quand elle vit qui les avait suivi elle comprit qu'elle avait un problème beaucoup plus important.

- J'entends des coups de paintball je te voie toi Miss Jones, quelle surprise, j'imagine que tu t’est introduit dans la maison avec ses enfants afin de voler et que tu t'es battu avec un pistolet de paintball ce qui expliquerait l’état de ton nez, papa ou maman t'ont demandé un "service " à toi ou a tes copains ou tu commences les sale coup tout seul comme une grande ? Oh mais j'oubliai ils sont mort alors qu'est ce que tu fous ici a des dizaines de milliers de kilomètres de ton orphelinat Jones .

Même dans suggestions intime le plus pessimiste et les plus délirantes Clémentine n'auraient pas pu imaginer cela, devant elle se tenait le policier qui l'avait arrêtée une bonne dizaine de fois pour des délits en tous genres. Et comme il l'appelait Jones cela voulait dire qu'il n’était pas au courant pour CHERUB, et compte tenu de la lueur qui brillait dans ses yeux il était bien décidé à faire passer aux enfants la nuit en cellule. Clémentine choisit soigneusement ses mots et déclara :

-Nous n'avons rien fait de mal sergent Patel, nous sortons de la maison de mon oncle adoptif nous devions aller chercher les deux petites pour les ramener à la maison, j'ai été adopté il y a quelques mois, le jeune que voici est mon frère adoptif Bretaska


Une voix tout droit sortie du talkie walkie grésilla et déclara
-Je t’écoute depuis le début tu as Jones devant les yeux ! Elle est en fugue certain disent même qu'elle a piraté une banque arrête là

Clémentine sentit son coeur s'emballer, si on l’arrêtait en tant que Clémentine Jones il faudrait des prodiges pour la faire sortir encore une fois du système judiciaire. Le policier écarquilla les yeux, Clémentine prit un air innocent et déclara

-Je ne voie pas de quoi vous parlez

Clémentine décida alors de faire quelque chose de prodigieusement osé, le policier était tout près d'elle, elle donna deux coups pied, l'un dans le talkie walkie du policier et l'autre dans on pistolet. les deux objets tombèrent au sol, le talkie walkie qui ne devait pas être neuf se sépara en deux. Aussitôt elle prit son pistolet et le braqua sur la tête du policier et déclara en criant presque, d'un ton très menaçant

-Ceci et une véritable arme je ne ferai jamais un cambriolage sans alors vous aller reculez les mains en l'air et vous allongez sur le ventre main sur la nuque, vous pensez peut-être que je bluffe ! Mais vous devez savoir que c'est les flics qui ont tué mes parents donc en descendre un sa me démange !

Soit Michel Patel le policier croyait Clémentine soit il n’était pas assez consciencieux pour risquer sa vie de la sorte en tout cas il s'allongea les mains sur la nuque sans résistance. Clémentine fit monter tout le monde dans la voiture Bretaska prit le volant. Une fois à une distance respectable de la maison Clémentine relâcha un peut la pression, une bonne partie de son passé venait d’être révélé et elle avait presque pris en otage un policier. Pas du tout ce qui était prévu initialement, Clémentine réalisa que son talkie walkie ne marchait plus.

-C’était complètement dingue, faut qu'on prévienne les blancs s'est grave là mon talkie walkie ne marche pas


Clémentine savait que Bretaska exigerait des explications mais pour l'heure tout ce qu'elle voulait c’était se reposer et rentrer à la résidence. Clémentine attendit avec calme la réponse Brétaska. Elle haletait, épuisé et espérait qu'il ne serait pas trop surpris car elle aimait bien le jeune garçon

(HRP : soit tu nous fais rentrer à la résidence soit tu compliques encore un peut au pire tu exigeras de moi des explications et on pourra continuer)


Edit de Izaac : Si jamais vous souhaitez continuer le RP, mp moi, je délockerai le topic. ^^